La rédaction d’une introduction doit suivre plusieurs consignes. MyStudies vous partage les points clés concernant son contenu et les bonnes méthodes pour l’écrire !


Les caractéristiques d’une bonne introduction

Pour qu’une introduction soit réussie, elle doit répondre à certaines caractéristiques. La méthodologie de cette partie dépend du type de document académique que vous souhaitez rédiger. C’est notamment le cas en ce qui concerne son emplacement dans votre rédaction.  Pour un mémoire ou une thèse par exemple, l’étudiant peut le disposer juste après le sommaire. Sa place peut être après les remerciements ou le sommaire pour un rapport de stage.

La rédaction d’une introduction ne doit pas dépasser un certain volume. Cette partie du document fait généralement entre une ou deux pages pour un rapport de stage ou un mémoire. Pour la rédaction d’une thèse par contre, sa longueur est très variable. En effet, l’introduction constitue un chapitre entier du document académique. Il peut alors comprendre des parties et sous parties.

L’introduction constitue généralement un appel à la lecture. A cause de son emplacement, cette partie du document est ce que les lecteurs voient en premier. Il permet donc d’établir une explication de ce qui attend le lecteur dans la suite du document. Pour les travaux académiques les plus techniques, l’introduction donne le ton sur le contenu du travail.

Pour toutes ces raisons, il faut préparer la rédaction de l’introduction avec soin. L’étudiant doit toutefois suivre une méthodologie précise. Cela dépend donc du niveau d’étude et du type de travail académique à rédiger qu’il faut adapter sa rédaction. 


Le contenu d’une introduction réussie

Comme nous l’avons vu plus tôt, le contenu d’une introduction peut varier d’un document académique à un autre. Tout dépendra donc du niveau d’étude de l’étudiant et de la méthodologie imposée par l’université. Néanmoins, il existe des standards que nous pouvons suivre pour créer une introduction réussie.

L’introduction pour un mémoire

Le contenu d’une introduction pour un mémoire se base sur 7 éléments principaux. L’accroche doit notamment se trouver en première partie de cette partie du document académique. Il s’agit d’un fait ou d’une situation, d’une date ou d’un chiffre clé en relation avec le sujet.

L’étudiant doit ensuite faire une présentation du sujet et définir les termes complexes du document. C’est aussi l’occasion d’établir le cadre théorique de ce travail académique. Ces éléments de l’introduction permettent au lecteur de comprendre l’importance du mémoire et son contexte général.

Viennent ensuite la problématique et la méthodologie pour la rédaction du mémoire. La rédaction d’une introduction réussie pour un tel travail nécessite également un plan. L’étudiant y annonce alors les différentes parties de son travail.

Le contenu pour un rapport de stage

Le contenu d’une introduction pour un rapport de stage est plus ou moins similaire à celui d’un mémoire. Elle commence bien sûr par une accroche et une présentation du stage. L’étudiant poursuit ensuite avec une présentation de l’entreprise ainsi que son secteur. Sans entrer dans les détails, l’introduction reprend les missions que l’étudiant avait en entreprise. Il se termine ensuite par un plan du document pour inciter le lecteur à poursuivre sa découverte.

La rédaction de l’introduction pour une thèse

Pour réaliser une thèse de doctorat, l’introduction est plus complexe. Elle contient avant tout une amorce et une présentation des parties de cette partie du document. L’étudiant évoque ensuite le contexte dans lequel l’étude s’est faîtes. Cela implique un historique et un rappel des informations déjà établies. 

La rédaction d’une introduction de thèse doit également contenir une problématique. Cela englobe ses limites mais aussi les hypothèses sur lesquels se basent le travail de l’étudiant. Il y développe aussi la démarche de recherche, son objectif ainsi que l’organisation du document général. 



Les consignes de rédaction

Il existe de nombreuses consignes de rédaction pour réussir une introduction en vue d’un travail académique. La plupart dépendent de la méthodologie de l’université. Certaines règles s’appliquent toutefois que ce soit pour un mémoire, un rapport de stage ou une thèse.

La présentation des informations

Les informations dans l’introduction se présentent généralement avec une méthodologie de pyramide inversée. L’étudiant présente donc les informations clés avant de passer au développement de ces dernières. Cette méthode s’applique autant pour un mémoire, un devoir littéraire ou la rédaction d’une thèse de doctorat par exemple. La technique permet ainsi de capter l’attention du lecteur mais aussi de le convaincre à poursuivre sa lecture sur le travail académique.

Privilégier la qualité pour votre introduction

Comme pour toute rédaction, l’étudiant doit privilégier la qualité pour écrire l’introduction d’un travail académique. Cela implique par exemple de respecter les règles grammaticales et d’orthographe. L’étudiant devra faire attention aux différentes coquilles dans sa rédaction pour donner plus de crédibilité à son travail. 

Rédiger une introduction pour un travail académique est un travail très personnel. En effet, ce dernier doit être le reflet d’une recherche approfondie de l’étudiant. Cette partie du document académique doit donc contenir des détails uniques pour présenter le sujet de recherche. S’il est trop banal, cela ne donnera pas envie au lecteur de poursuivre sa lecture.

 

Bien choisir le ton de l’introduction 

Le ton de rédaction d’une introduction doit être dans un langage soutenu. L’étudiant doit veiller à ce que cette partie du document académique soit clair et concis. Bien sûr, la neutralité et la cohérence font partie des critères à respecter. Il ne faut pas oublier que l’introduction constitue la première partie que les lecteurs découvrent concernant le travail académique.

Attention à ces erreurs courantes en rédigeant votre introduction 

L’introduction pour un travail académique doit être cohérente avec la conclusion. Certains étudiants oublient toutefois d’assurer un lien entre ces deux parties du document. Cela constitue l’une des plus grandes erreurs à ne pas faire durant la rédaction. A l’écriture de l’introduction, l’étudiant doit donc s’assurer que lorsqu’elle est combinée à la conclusion, les deux parties permettent de cerner le sujet dans sa globalité.